En Europe, le coût de l’absentéisme s’élèverait en moyenne 20 milliards d’euros. Un chiffre colossal qui montre que ce phénomène social est tout sauf anodin.
Les origines de cet absentéisme
Il faut tout d’abord distinguer différentes formes d’absentéismes. En premier lieu, le stress au travail constitue un facteur récurrent de l’absence des salariés. Mésentente, conditions difficiles, manque de reconnaissance… ces éléments mis bout à bout entrainent chez les employés une grande anxiété, capable de bloquer toute productivité chez l’individu.
Le second a trait à la famille, généralement relatif aux problèmes d’organisation. La garde des enfants et les tâches quotidiennes demande une bonne capacité d’organisation, ce qui manque parfois aux individus. Les jeunes parents sont globalement les plus concernés.
Le petit dernier, qui n’a pas attendu la sonnerie de la récréation, flâne déjà dehors. Le regard rêveur, il se promène lentement dans la cour, sans se soucier de cette sortie inopinée. Cet absentéisme abusif, même s’il se trouve minoritaire ne peut être négligé.
Un surcoût financier gargantuesque
Remplacements, recours à des CDD et diminution de la productivité, l’absentéisme engendre un surcoût de taille pour les entreprises. Les perturbations qui y sont liées provoquent par ailleurs des dysfonctionnements organisationnels. Perte de qualité, retard dans les délais l’obligation de former les personnes remplaçantes induisent également des répercussions néfastes. La satisfaction client, clé de voute de la fidélisation, ne sera pas au rendez-vous. Ce problème social est pourtant évitable à travers la communication et un logiciel HR Analytics, qui optimise rendement et satisfaction du salarié.